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16 octobre 2015 5 16 /10 /octobre /2015 11:22

Vous retrouverez mes commentaires de l'actualité à partir de 1.20.

J'étais l'un des invités hier de la nouvelle émission de Public Sénat Sénat 360, qui fait la part belle à l'actualité politique et parlementaire.

Vous retrouverez dans cette vidéo la séance de questions d'actualité au gouvernement au Sénat qui a désormais lieu une fois par semaine, le jeudi après-midi et le mardi après-midi en alternance.

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9 octobre 2013 3 09 /10 /octobre /2013 10:50

Je serai jeudi 10 octobre l’un des invités du magazine parlementaire de France 3 national diffusé à 15h45.


Le magazine sera consacré aux avancées en matière de droit des consommateurs.


J'y parlerai des dispositions adoptées au Sénat en première lecture lors de la discussion du projet de loi sur la consommation et notamment de l’action de groupe.

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 22:15
Consommation : l’appellation « fait maison » restera facultative pour les restaurants.
 
Marie-Carline Chardonnet
Le 12.09.2013 à 19:49
hémicylce Sénat -
Les sénateurs suppriment l’obligation d’appellation « fait maison », votée par les députés pour les plats élaborés dans des restaurants. Cette mesure phare du projet de loi sur la consommation, devait instaurer dans les restaurants un label « fait maison » assurant l’utilisation de produits préparés sur place.

Les sénateurs communistes, UMP et centristes par 189 voix contre 157,  ont rendu un caractère facultatif à ce label adopté par l'Assemblée nationale dans le cadre du projet de loi sur la consommation. Les députés avaient rendu cette mention obligatoire, alors que le gouvernement avait proposé initialement qu'elle soit facultative.

«  On n’a pas le droit de cacher aux consommateurs ce qu’il a dans son assiette. » 

 Le sénateur PS Martial Bourquin, rapporteur du texte tente dans l’hémicycle d’imposer le concept « d’artisan restaurateur »,  et surtout de mettre en place un label  « fait maison » se démarquant de tout ce qui n’est pas « fait maison » :  « On n’a pas le droit de cacher aux consommateurs ce qu’il a dans son assiette.  C’est une obligation éthique, en démocratie, mais également sanitaire, pour ceux qui sont allergiques à certains plats. » déclare-t-il.

L’engouement des français pour les émissions de cuisine, montre l’intérêt du public pour une cuisine de qualité, du terroir et traçable. Le sénateur utilise un argument de poids en rappelant la tradition de gastronomie en France : « on est la première destination touristique, le pays de la gastronomie, alors la découverte, de plats servis tout préparés ou réchauffés est catastrophique. On doit revoir la conception de l’alimentation, c’est un débat d’avenir, qui nous touche de près ».

Reprenant la proposition de la Ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, Sylvia Pinel et d’Alain Fauconnier, l’autre rapporteur de la loi, Martial Bourquin soutient  la notion « d’artisan  restaurateur » qui « amorcera un bouleversement dans la filière alimentaire ». Et poursuit : « l’exemple de l’artisan boulanger est une réussite, il faut que « l’artisan restaurateur soit au cœur du processus de transformation, afin de restaurer, restructurer et refonder la restauration. Ce débat de société fondamental a été mis en place ».  Il conclut en interpellant les élus : « Qui défendez-vous? Pour qui travaillez-vous ? ».

 Laurence Rossignol, sénatrice PS de l’Oise, appuie la position du sénateur et affirme « qu’il n’y avait pas besoin d’une loi, pour rester dans une appellation facultative », et regrette que le «  lobby agroalimentaire » ait gagné la bataille ».

La difficile mise en place d’un label «fait maison »

Du côté de la sénatrice CRC Mireille Schurch, la position est pragmatique avec une pointe d’humour. « On ne pourra jamais contrôler l'utilisation correcte du label dans les 200.000 restaurants de France. Il y a un effet pervers dans cette obligation. On est pour rendre facultative l’appellation «  fait maison » car cette mesure va « dévaloriser les restaurants qui auront sur la carte des plats industriels» a argumenté la sénatrice.

« Le coût du « fait maison » aura un impact sur le consommateur et le restaurateur, et sera une mesure exclusive, en période de baisse du pouvoir d’achat des consommateurs. Nous sommes en revanche pour l’appellation « d’artisan restaurateur » qui l’on espère comme pour les « artisans boulangers » aura une action de relance de la filière » ajoute-t-elle.

En raison de la baisse du nombre des agents de la DGCCRF, le contrôle de 200 000 restaurants sera difficile. « Le plat fait maison, n’empêchera pas l’utilisation de produits de mauvaises qualités, ou venant de loin, ce qui n’est ni éthique, ni avantageux, pour les consommateurs les moins fortunés. Il est nécessaire d’encadrer les prix des produits et des plats ». Et d’ajouter : « pourquoi pas un Mac Donald’s « fait maison »  alors » ? 

Le sénateur Philipe Adnot (non inscrit), est satisfait de l’appellation facultative du « fait maison », il déclare : « C’est une mesure complexe car, tous les plats ne sont pas composés uniquement d’ingrédients «  fait maison » comme pour un restaurateur servant, ce produit de qualité qu’est l’andouillette de Troyes. Ce sera une lourdeur juridique, entraînant une nomenclature des produits composant les plats. » Il s’indigne des conséquences de ce label sur l’emploi : «  arrêtons de stigmatiser, les ouvriers qui font des produits de qualité, et qui travaillent bien, le maintien de ces emplois est essentiel ».  Il conclut par ce constat : « le contrôle est illusoire, et il ne faut pas infantiliser les consommateurs, qui savent où trouver des plats  « fait maison », ou de proximité, n’instaurons pas de mesure coercitive. C’est insupportable ».

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29 août 2013 4 29 /08 /août /2013 13:50

La rentrée sénatoriale s’annonce chargée avec plusieurs textes législatifs importants. Le premier projet de loi qui sera examiné sera le projet de loi consommation pour lequel je suis rapporteur avec mon collègue Alain Fauconnier.

 

Ce projet de loi restera comme l’une des principales réformes économiques du quinquennat. Un travail collectif intense a été mené, de nombreuses auditions ont été réalisées. Ces dernières ont montré que, dans son ensemble, cette réforme était bien acceptée, y compris des entreprises qui la considèrent comme équilibrée.

 

Ce projet de loi ambitieux qui comprend quelques 70 articles vise à renforcer les droits des consommateurs et à redonner du pouvoir d’achat à nos concitoyens et donc de relancer la consommation. Il sera examiné au Sénat dès le mardi 9 septembre.

 

Outre l’action de groupe confiée aux 16 associations de défense du consommateur, mesure phare de ce projet qui donne des droits nouveaux aux consommateurs, deux points méritent d’être mis en exergue.

 

-  Il s’agit tout d’abord de garantir la qualité et l’origine des produits alimentaires consommés par les Français. Après le scandale des lasagnes à la viande de cheval, les Français sont plus que jamais soucieux de ce qu’ils consomment. Ainsi, différentes mesures sont destinées à apporter des garanties :

 

-  Le renforcement des pouvoirs des agents publics de la DGCCRF et la création de sanctions administratives comme alternatives aux sanctions pénales puisqu’il s’agit de sanctions plus rapidement mises en place. A titre d’exemple pour ce qui concerne les agents publics, ces derniers ne seront plus obligés de décliner leur qualité lors des contrôles.

 

-  La reconnaissance par un sigle du « fait Maison » dans les restaurants. Personnellement, je suis pour aller plus loin et pour désigner également les plats non-faits Maison. Sans forcément stigmatiser par un logo péjoratif les plats industriels, je demeure persuadé que les consommateurs doivent, en toute conscience, avoir le choix entre « fait maison » et le non-fait maison.

 

-  Le second point que je souhaite développer est la troisième partie de ce texte législatif qui vise à « garantir l’équilibre commercial des relations interentreprises ». Je suis notamment l’auteur d’amendements pour les articles 61 et 62 qui sont directement inspirés du rapport ministériel que j’ai remis à MM. Moscovici et Montebourg en mai dernier. Il est question d’améliorer mais surtout de garantir le respect des délais de paiement entre fournisseurs et clients.

 

Projet de loi des Finances

 

Dans le cadre de la poursuite de mon travail sur le thème de l’Industrie et en tant que président du groupe Industrie au Sénat, j’ai également été nommé rapporteur pour examiner la partie concernant l’industrie lors de l’examen du projet de loi des Finances qui arrivera cet automne dans l’hémicycle.

 

ONF

 

Un dossier qui me tient à cœur et que je suis de près : les problèmes d’effectifs à l’ONF.  Ce dossier concerne à la fois la mairie d’Audincourt et le Sénat. En effet, suite au départ en retraite du responsable du triage des communes d’Hérimoncourt, Bondeval, Valentigney, Abbévillers, Seloncourt et Audincourt, l’ONF nous a annoncé que ce poste allait être supprimé.

Plusieurs communes du Doubs se retrouvent dans cette situation qui apparaît inacceptable. J’ai déposé une question écrite auprès du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt afin de l’alerter  sur la gestion future de ce patrimoine naturel que représentent les forêts. Il est essentiel de rappeler en quelques chiffres l’importance de la filière bois à l’échelle de la région Franche-Comté.

 

Avec près de 46% de sa superficie recouverte de forêts soit 700 000 ha, la Franche-Comté est la seconde région la plus boisée de France et elle se place en première position pour le nombre d’entreprises et de salariés soit 10 000 emplois répartis en 3 000 entreprises.

 De plus, notre région compte davantage de parcelles publiques que de parcelles privées puisque la moyenne régionale s’élève à 57% contre une moyenne nationale à 25%.

 

Je partage donc pleinement les inquiétudes de mes collègues et je reste mobilisé afin que les suppressions de poste dans ce service public ne se fassent pas au détriment de l’économie locale, des élus mais aussi et surtout de cette richesse naturelle qu’est la forêt.

 

 

Trophée national des entreprises

 

Le mercredi 16 octobre, je parraine au Sénat le trophée national des entreprises valorisant les outils de production. C’est un honneur pour moi et je serai ravi que vous puissiez faire le déplacement.

 

 

FISAC

 

Je monterai également au créneau sur la question du FISAC comme je l’ai fait l’année précédente. Le FISAC est un outil indispensable pour revitaliser les centres villes mais son financement n’est plus du tout assuré depuis des années. Je vais demander à ce que des solutions pérennes et suffisantes soient trouvées.

 

 

Rôle essentiel des communes

 

Pour conclure mon propos concernant ma rentrée sénatoriale je souhaitais revenir sur  le rôle éminent des communes et des élus locaux dans notre pays.

Le Sénat a par exemple décidé de reporter l’examen de l’Acte III de Décentralisation afin de permettre une large concertation et de préciser les rôles attribués à chaque collectivité.

En ces périodes difficiles, il ne faut pas oublier que le maire est le responsable politique le plus proche de nos concitoyens et auquel  les Français accordent le plus leur confiance. Depuis la Révolution les communes se sont révélées être le pilier de la République. Elles garantissent la cohésion nationale et territoriale.

Les maires en tant que responsables politiques indispensables doivent donc conserver l’ensemble de leurs prérogatives, y compris en matière d’urbanisme.

 

 

 

 

Je plaide donc pour une intercommunalité qui est une grande avancée puisqu’elle permet de mutualiser les moyens et d’offrir de plus larges services. Mais cette intercommunalité doit être choisie et non subie et/ou imposée par un texte de loi ; elle ne doit en aucun cas remettre en cause l’espace public et l’échelon politique qu’est la commune.

Sur ces questions liées au rôle de la commune, j’aurais l’occasion d’interpeller Madame Marylise LEBRANCHU, Ministre de la réforme de l’Etat, de la décentralisation et de la fonction publique lors des séances de questions orales au gouvernement le mardi 1° octobre.

 

 

Voici un petit tour d’horizon de ce qui est prévu : des sujets divers et variés mais qui nécessitent toute mon attention.

 Gouverner c’est certes prévoir mais être parlementaire c’est aussi s’adapter.

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 11:18

J'ai pris part cette semaine à l'émission le débat présenté par Elise Lucet sur Public Sénat consacré à l'industrie française.

Cette émission sera diffusée pour la première fois le samedi 14 janvier à 23h, puis rediffusée dans la semaine.

 

Présentée par Elise Lucet et Benoît Duquesne 

Samedi à 23h00
Rediffusion le dimanche a 19h, le lundi à 18h15 et le dimanche suivant à 10h
 

 
Le débat prolonge la problématique abordée par le documentaire du samedi soir sur des questions politiques, de société ou internationales. Avec des invités et en présence des réalisateurs.
RETROUVEZ LE DEBAT DEMAIN À 23H00
L'industrie française : histoire d'un déclin

Rediffusion le :
dimanche 15/01/2012 à 19h00
lundi 16/01/2012 à 18h10
samedi 21/01/2012 à 16h15
Durée : 45 minutes

Le Rafale, le TGV, les airbus sont des symboles de l'industrie de pointe française mais sont-ils pour autant des réussites économiques ? Sans les commandes de l'Etat français le Rafale existerait-il encore ? Pourquoi le « made in France » peine-t-il à s'exporter ? Quel est l'état de santé de l'industrie française ? La France doit-elle s'inspirer du modèle allemand ?

Avec :
Martial BOURQUIN, Sénateur (PS) du Doubs, vice-président de la commission de l'économie au Sénat
Antoine REVERCHON, Rédacteur en chef du supplément "Le Monde Economie"
Elie COHEN, Economiste, Directeur de recherche au CNRS
Isabelle BOURGEOIS, Chercheuse au CIRAC, Rédactrice en chef de Regards sur l'économie allemande
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23 novembre 2011 3 23 /11 /novembre /2011 14:09

Lundi 21 novembre 2011, j'étais l'invité du journal télévisé de Public Sénat diffusé en direct à partir de 19H. Celui-ci était consacré aux risques potentiels de "fuite des cerveaux" en France.

J'ai souhaité rappeler toute l'importance de la recherche et du développement, nécessaire au dynamisme de notre industrie et de notre économie.

Je vous invite à retrouver cette intervention et à me faire part de vos commentaires.  

 

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 16:58

Le mercredi 8 juin, lorsque j'ai présenté le rapport sur la désindustrialisation, une "blogueuse" était présente dans la salle.

Le résumé qu'elle a souhaité faire de ce travail a été publié sur le site Marianne 2.

Je vous invite à lire ce texte. Vos commentaires sont les bienvenus. 

 

Un sénateur PS propose un «protectionnisme light»

 

Le sénateur PS Martial Bourquin a rendu un rapport sur la désindustrialisation. Pour la blogeuse Bah !? by CC, qui nous en fait un petit résumé, il faut non seulement sauver ce qui est encore « sauvable », mais aussi faire de l'industrie une grande cause nationale, et enfin instaurer un protectionnisme light.

 

Hier soir, j'étais à la présentation de la mission sur la désindustrialisation, avec Martial Bourquin, le sénateur qui a présidé la commission qui s'est chargé de ce rapport. J'en ai déjà parlé il y a quelques temps. J'ai fait un Live Tweet (le mot tweet est entré dans le dictionnaire hier !)...Voilà un petit résumé...


L'introduction par Martial Bourquin présente la commission : même si le sénateur socialiste a été l'initiateur, le groupe de travail est majoritairement à droite. Les idées reçues sur le sujet étaient, dès le début, celle du productivisme. L'idée qu'il faut réduire les coûts du travail pour gagner en productivité. C'est par un voyage en Allemagne que l'on va voir que les choses ne sont pas si simples. C'est un voyage dans les landers allemands qui va être éclairant. Ce qu'il faut souligner, aussi, c'est que parler de désindustrialisation, c'est désespérant. Il ne faudrait pas oublier de vouloir la réindustrialisation et c'est pour cela que ce rapport est bon : il propose des choses concrètes.

La soirée s'est poursuivie avec la projection d'un reportage de la chaîne Public Sénat. C'est intéressant, si vous avez quelques minutes...

Il faut revenir sur quelques chiffres et sur quelques idées phares : 30 % du PIB allemand vient de l'industrie. Seulement 16 % en France. Pourtant, le coût du travail est identique. Les Allemands ont misé sur la qualité. Comme cette entreprise de textile du Nord qui a su ne pas délocaliser, en faisant de la qualité et aussi en réduisant les coûts au sein de l'administration, pour se concentrer sur la production... Les beaux exemples existent.

Un constat s'impose aussi : la réindustrialisation coûte cher. Et depuis les années 70, le patronat a choisi de faire disparaître les industries, en France, au profit des services. Cette stratégie est durement remise en cause depuis la crise. Le contre exemple flagrant, c'est l'Irlande...Il faut donc, dans un premier temps, sauver ce qui est encore « sauvable » et arrêter de voir partir les belles entreprises de notre territoire. L'idée d'aller faire moins cher ailleurs est un échec. Premièrement, c'est jamais assez : par exemple, le textile a d'abord délocalisé au Magreb avant d'aller encore moins cher en Asie. C'est un jeu sans fin. Ensuite, la France a un potentiel de recherche et d'investissement plus fort (pour l'instant) que les pays émergents. Il faut donc en profiter pour jouer la carte de l'innovation et de la qualité.

Les priorités, pour sauver notre industrie, selon Martial Bourquin, c'est une campagne de communication, à grande échelle, pour redorer le blason du secteur. Faire de celui-ci une cause nationale, c'est le premier pas vers une prise de conscience collective. Il faut aussi que cela passe par l'éducation nationale. Il faut que les formations soient mieux adaptées et mieux concertées entre le monde du travail et l'école. Je suis prof et je ne peux qu'approuver. 

Enfin, il faut pratiquer un protectionnisme « light » qui permettra de faire valoir nos productions, protéger les brevets, exiger les mêmes conditions sociales et environnementales pour les importations ou imposer des taxes sociales ou « carbone » pour les pays importateurs qui ne respecteraient pas nos règles du jeu.

Bref, c'était une soirée passionnante. Je veux croire que ce travail fera partie intégrante du programme du PS, l'année prochaine. Et surtout que la candidate ou le candidat saura le défendre aussi bien que Martial Bourquin l'a fait hier soir.

Je voulais parler aussi d'un sujet abordé en question, mais je crois que je reviendrai dessus plus tard. La soirée a été trop riche pour ne faire qu'un seul billet...
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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 16:29

 

Je suis intervenu hier soir sur Public Sénat dans un débat passionnant sur l'avenir de la filière aéronautique française.

Je serai heureux de recueillir vos commentaires.

 

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26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 10:33

PUBLIC SENAT copieDu 5 au 26 octobre, le Sénat a débattu sur la réforme des retraites.

Trois semaines d'examen, près de 150 heures de débats... Ce texte a mobilisé les sénateurs mais aussi les Français. Entre grèves, manifestations et blocages, retour sur les moments forts de ce débat dans l'hémicycle et dans la rue.

  Pour voir la vidéo de ce reportage de la chaine Public Sénat, cliquez ici. 

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 06:23

 

logo france3J'étais l'invité hier du JT de France 3 édition de Franche-Comté où je suis intervenu sur les sujets d'actualité du jour et de la semaine.

 Revoir la vidéo du JT

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